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Pokémon Red/Blue

Pokémon Rouge/Bleu/Jaune, là où tout a commencé...

Trois versions remises au goût du jour avec Let's Go Pikachu et Evoli.

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Pokémon peut être résumé à de la recherche, de la capture et des combats face à de redoutables bêtes. Mais peut-être que la bête la plus impressionnantes de toutes reste la licence elle-même. La franchise Pokémon a en effet connu d'innombrables épisodes et a engendré des films, séries TV, manga, jouets, cartes et encore bien plus. Tandis que la saga à la conquête d'une nouvelle machine en lançant Pokémon Let's Go, Pikachu et Évoli sur Switch, il temps de se remémorer où tout cela a commencé.

Les dernières aventures étaient un remake de ces prémices : Pokémon Rouge et Bleu. Sorties initialement en 1996 et introduites sur notre territoire en 1998, les deux versions sont devenues cultes immédiatement. La fièvre Pokémon a touché tous les enfants (et beaucoup d'adultes) du pays comme du monde entier. Une popularité une nouvelle fois exploitée avec l'introduction de la version jaune, inspirée de la série animée et de sa star Pikachu qui faisait aussi un véritable carton auprès du jeune public.

Il y a de nombreuses raisons à ce succès considérable, à commencer par les principaux acteurs, les Pokémon !. Les 150 créatures alors dévoilées présentaient toutes, en plus de caractéristiques et personnalité propres, une aura unique. Cette sensation était renforcée par l'interaction entre le jeu et l'anime se complémentant et qui appuyait les préférences des dresseurs en herbe.

Mais l'aspect social du titre a aussi eu une part importante. Le jeu ne proposait pas seulement de se battre pour la suprématie, mais aussi d'échanger avec d'autres des dresseurs des Pokémon pour obtenir qui vous étaient inaccessibles. L'immersion, la coopération et la compétitivité ont été les ingrédients clés de la recette du succès.

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Pokémon Red/Blue

Si le terme JRPG pouvait être intimidant à l'époque, Pokémon avait eu la judicieuse idée de cacher sa nature RPG derrière une façade colorée assez infantile. Certes, on ne parle pas d'un Final Fantasy ou d'un Dragon Quest, l'expérience était ici beaucoup plus accessible. Le but se résumait à battre un dresseur d'arène pour obtenir son badge avant de pouvoir vous lancer dans la Ligue Pokémon et devenir un Maître Pokémon. Bien sûr, d'autres évènements étaient présents, mais c'était le récit général de l'expérience, et ça fonctionnait très bien...

Le système de combat au tour par tour avait aussi été rendu plus facile à comprendre. Quatre options étaient proposées (Attaque, Sac, Pokémon et Fuite), si vous décidiez de combattre, un nouveau choix entre quatre techniques était affiché. En résumant l'action à une configuration aussi réduite, elle restait facilement assimilable par les joueurs les plus jeunes ou les moins expérimentés. Il ne vous restait plus qu'à façonner vos Pokémon à la perfection.

Mais sans variété, l'expérience aurait été fade, c'est là que les éléments rentrent en jeu. Cela imposait de vous rappeler le rapport entre les différents type au nombre de 15 dans ces premiers opus. Tous n'avaient pas les mêmes effets selon l'opposant et l'exploitation de ces failles étaient très souvent (voire toujours) la solution face aux dresseurs d'arènes spécialisées dans une certaine catégorie. Mais tout cela restait très facile à retenir, en favorisant l'expérimentation et en disséminant quelques conseils de quelques lignes le long de votre progression.

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Il y a encore des tonnes d'autres raisons qui ont fait que Pokémon Rouge, Bleu et Jaune ont rencontré un tel succès, mais ce sont là les éléments principaux. Ils sont les piliers du succès de la franchise et ont défini la licence pour longtempsi, devenant un genre à part entière.

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